Du design dans le web !

Ou plutôt l’art de créer avec d’un côté les rébarbatifs outils informatiques et de l’autre côté les multiples possibilités des logiciels graphiques mélangeant en permanence numérique, et virtualité.

Cet art étant assez spécial et non classable, les designers de mise en pages électronique décidèrent d’en créer un nouveau mouvement.

Aujourd’hui, paradoxalement la création de site Internet sur la toile du web semble être à la portée de tous.

Seul bémol, le support ne se supporte pas longtemps si les consignes n’ont pas été respectées.
Ces consignes doivent respecter à la fois la lisibilité et la technicité.

Un site doit fonctionner pour tous. Les ordinateurs comme pour les internautes.

Trop souvent, un site se veut élitiste car différent des autres par sa fonctionnalité ou sa présentation des informations.

Des règles se mettent en place dans les plus grandes agences de WebDesign pour donner forme et faire prendre conscience aux clients que le site doit s’adapter à l’internaute et non pas le contraire. Sous peine de tomber dans l’abandon le plus total.

De plus, les enjeux ont rapidement changé sur la toile.
Le B to B (business to business, c’est à dire les sites destinés aux professionnels) progresse à grands pas et conditionne de plus en plus les sites communautaires dans des niches retranchées, pour leur laisser une couche superficielle dans l’univers de la création.

Le support internet nécessite un équipement universel qui ne sera jamais parfaitement audité.

Impossible de savoir réellement le nombre de PC pentium x capable de lire un gros fichier en format shockwawe ! ? ! Et pourtant, dans cet univers nébuleux ou les consultants ont bien du mal a communiqué avec des designers soucieux de parfaire les images, seul les techniciens manipulent l’arbitrage des réalités.

La réalité du webdesign est essentiellement basée sur la possibilité technique.

J’ai vu des maquettes de sites pensés et designés de manière somptueuse et pourtant qui n’ont jamais vu le jour faute de devenir des « usines à gaz » sur la toile actuelle…

Pour terminer avec cet article, je vous révèle deux bons article dans le magazine www.lmdk.com, un sur le style et l’autre abordant la technique.

En lisant cet article, on peut constater que l’univers graphique du Web Design étant très récent, se cherche depuis quelques années une identité.

Voir impérativement ce site US : http://www.motown.com/

Introductions aux articles de lmdk ( www.lmdk.com )

Style Trashé

Le trash (également appellé « dirty » par les anglophones) n’est pas réellement un style, mais plutôt un élément du design graphique en général. Il est souvent opposé au « pixel art », mais de très nombreux graphistes mélangent allégrement les deux. Le trash se veut crasseux, patîné, usé… Une manière de lui donner un certain vécu en quelque sorte. S’il est tellement tendance sur le net depuis ces 2 ou 3 dernières années, c’est peut-être dû au côté éphémère et récent du web, une façon de se créer un passé. Peut-être aussi un pied de nez à tout cet environnement informatique si propre et si lisse !

Depuis quelques années, le trash a été remis au goût du jour par des gens comme Kyle Cooper (imaginary forces) avec le désormais célèbre générique de Seven… David Carson y a également beaucoup contribué en récupérant l’imagerie punk, en la samplant… Plus proche de nous, des gens comme The Attik, ou encore Tomato ont repris certaines racines du graphisme punk, bien que le trash à l’heure actuelle soit quand même plus propre esthetiquement, et moins anarchique dans le message.

Mais ce style contient une arborescence de genres, il n’y a pas vraiment d’artistes de référence. L’infographie (print et web) a apporté sa contribution au trash. L’ajout d’éléments typographiques par exemple, et les outils utilisés (photoshop, etc) ont forcément influencé sur le résultat et la créativité.

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Fausse image sur la navigation horizontale.
Les sites utilisant un système de navigation horizontale ne sont pas si répandus que l’on veut bien le croire. Pourtant ce mode de présentation offre de multiples avantages. Il s’accorde mieux avec notre sens habituel de lecture. Qui ne se rappelle pas des frises historiques réalisées à l’école, avec cette impression de se déplacer au cœur même du document, d’avancer en suivant un texte. Si on regarde la manière dont on feuillète un magazine ou un livre, ce mode de navigation est celui qui s’en rapproche le plus, la sensation de tourner les pages en moins : ). On se déplace réellement de page en page toujours en progressant vers la droite (notre sens habituel de lecture). Ce format permet de créer des layouts plus aérés, faisant la part belle aux images. La lecture se déroule de manière plus légère, moins indigeste.

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